… pour mieux relancer le pays.
Disons les choses : notre fiscalité du capital, trop lourde et trop complexe, est perçue comme un repoussoir par nombre d'investisseurs. Nous devons donc la réorienter, afin que le capital libéré finance notre investissement productif.
Grâce à cette transformation de notre système fiscal, nous pourrons inciter à investir, attirer les investissements dans notre pays et surtout faire en sorte qu'ils y restent. À ces investissements privés que nous souhaitons favoriser s'ajoutent, sur toute la durée du quinquennat, 57 milliards d'euros d'investissements publics.