Nous inspirant d'un rapport dans lequel l'Inspection générale des affaires sociales (IGAS) préconisait « une réforme d'envergure de la pharmacovigilance », nous proposons de donner à la Haute autorité de santé le monopole de l'information sur le bon usage des soins et les recommandations de bonnes pratiques à destination des professionnels de santé et du public.