Intervention de Marietta Karamanli

Réunion du mardi 12 mars 2019 à 17h10
Commission des affaires européennes

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMarietta Karamanli :

Je souhaite d'abord ajouter qu'un euro investi par l'Union européenne, s'il est accompagné par un financement au niveau national, a un effet démultiplié. C'est cette dynamique que souhaitait impulser le plan Juncker. Malgré sa finalité de compétitivité et de convergence et sa fonction stabilisatrice, la proposition franco-allemande d'instaurer un nouvel instrument budgétaire fait débat. Les contributions des États membres font apparaître que certains d'entre eux refusent cette proposition. Ces divergences dénotent une certaine fragilité. Y a-t-il un plan B ? Ce plan B ne passerait-il pas par une simplification des règles qui sont perçues comment complexes et opaques, notamment en matière de déficit. Il est parfois évoqué un lien entre le déficit et l'évolution du PIB des États membres. Avez-vous pu explorer ces pistes ? Quelles suites allez-vous donner aux travaux du groupe de travail sur le CFP ?

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