Il s'agit de réintégrer dans le dispositif de formation, tel qu'il est imaginé par le projet de loi, les masseurs-kinésithérapeutes.
Ceux-ci sont aujourd'hui intégrés à la PACES et sélectionnés à l'issue de celle-ci.
Autant je ne crois pas que la coercition et la contrainte imposée aux professionnels de santé soient de nature à régler les difficultés de la santé ou à mettre fin à la situation d'urgence qui prévaudra dans les dix prochaines années, autant je suis intiment persuadé que l'interprofessionnalité nous fera gagner énormément.