Tout ayant été dit, j'insisterai juste sur un point : nous manquons de masseurs-kinésithérapeutes sur l'ensemble du territoire, notamment pour ce qui concerne les soins de suite, dans certains secteurs ruraux et en ambulatoire. Si vous n'êtes pas d'accord avec moi, madame la ministre, je vous invite dans le Lochois : vous verrez que dans ce territoire rural, pour ce qui concerne les soins de suite et l'ambulatoire, nous manquons de masseurs-kinésithérapeutes.
Cet amendement, qui va dans le même sens que les précédents, s'inscrit dans la continuité de la réingénierie de la formation initiale et dans la volonté du Gouvernement de promouvoir l'interprofessionnalité dès le début du cursus de formation initiale. Son adoption permettrait en outre de développer une véritable filière universitaire d'enseignement et de recherche dans ce domaine.