Mes propos n'ont peut-être pas été très clairs… J'ai précisé que la loi ORE du 8 mars 2018 a donné toute liberté aux universités pour fixer leur quota d'étudiants boursiers. Certaines universités, notamment parisiennes et de médecine, ai-je dit, n'ont pas joué le jeu, fixant cyniquement le taux d'étudiants boursiers à 1 %. Je n'ai donc pas dit que le taux d'étudiants boursiers dans ces universités n'était que de 1 %, mais que celles-ci, au lieu de fixer un taux minimal à 20 %, n'ont pris aucun risque et l'ont fixé à 1 % ; d'où notre proposition de porter ce taux minimal à 33 %. Cela permettrait d'empêcher certaines universités de jouer avec la lettre de la loi, si elles étaient un jour tentées de le faire.