Même avis.
L'alinéa 3 dit bien que « [l]es objectifs pluriannuels [d'admission dans les formations de santé] tiennent compte [... ] des besoins de santé du territoire ». À l'évidence, c'est de la valorisation des zones sous-dotées qu'il s'agit ici. Les territoires, par l'intermédiaire de la CRSA, feront part de leur diagnostic qui sera transmis à l'ARS, laquelle se mettra d'accord avec les universités sur le nombre d'étudiants à former.
Par ailleurs, nous y viendrons ultérieurement, nous étendons le dispositif du contrat d'engagement de service public, qui vise à favoriser l'installation de jeunes dans les zones sous-denses. C'est un moyen supplémentaire de tenir compte des besoins de santé dans ces zones.