C'est une vraie question de savoir quelle est la place des parlementaires, mais je pense qu'elle est plus à l'Assemblée qu'à l'ARS. Quand un texte prévoit d'entrée six ordonnances, je considère que notre rôle de député est bafoué.
Au reste, ce n'est pas parce que nous participerons aux réunions de l'ARS que les choses iront mieux. D'autres partenaires peuvent aussi bien déterminer les besoins en médecins des bassins de vie.
Le problème est qu'aujourd'hui, lorsqu'on demande un rendez-vous ou une réponse à l'ARS, c'est la croix et la bannière pour les obtenir. Si l'on nous reçoit, on nous écoute, mais cela s'arrête là. Je ne pense pas que cet obstacle sera levé parce que nous participerons à ces réunions.