Je ne suis pas opposée à la diversification des parcours et à l'accueil d'étudiants de tous horizons. Quelqu'un, tout à l'heure, a donné l'exemple d'un étudiant en histoire du Moyen Âge qui se réorientait vers des études de médecine : pourquoi pas ? Mais il me semble qu'un minimum de bases communes est nécessaire, et c'est pourquoi je propose de fixer un pourcentage maximal d'étudiants qui viennent de l'extérieur des études de santé.
Le risque est qu'un étudiant médiéviste – études très louables, très intéressantes, naturellement – ait moins de chances de réussir en médecine que quelqu'un dont le parcours sera plus classique, et qui lui aura donné les bases indispensables.