Il tend à mettre en évidence le fait qu'environ 25 % des médecins sortant du cursus et ayant soutenu leur thèse n'exerceront jamais d'activité de soins. Ce chiffre est assez impressionnant, compte tenu de la démographie que nous connaissons aujourd'hui.
L'amendement tend donc à ce que les médecins qui n'auraient pas d'activité de soins pendant les trois années qui suivent leur sortie de formation initiale puissent être contraints – même si je ne suis généralement pas enclin à la contrainte – à effectuer 100 heures de bénévolat médical, par exemple pour du dépistage, dans une association ou une structure médico-sociale.