Cet amendement me donne l'occasion de revenir sur ce chiffre de 25 %, issu d'un conseil de l'ordre des médecins et qui apparaît un peu partout. En réalité, ce chiffre ne tient pas compte des médecins de santé publique, des médecins journalistes, des médecins en administration ni de tous les médecins actifs dans l'industrie pharmaceutique. Ce sont donc bien moins de 25 % des étudiants qui arrêtent ultérieurement l'exercice de la médecine. Il est peut-être important, pour la suite de nos débats, d'avoir ce chiffre en tête. L'avis de la commission est donc défavorable.