Face à des situations dramatiques comme celle que nous connaissons actuellement, on ne peut pas simplement parler d'envie. Nous sommes des élus, nous sommes là pour résoudre des questions extrêmement urgentes, dramatiques pour les gens. On ne leur demande pas, quand ils n'ont plus de médecin référent, s'ils ont envie d'aller ailleurs ou pas, parce qu'ils n'ont pas le choix. L'envie, madame la ministre, n'est pas un critère acceptable face à une question de justice !