Madame la ministre, vous nous parlez d'organismes privés de formation à but lucratif, sans lien avec l'industrie. Pouvez-vous déjà nous livrer certains éléments d'appréciation, notamment en matière de coût ? Combien de médecins par an pourront être recertifiés à la fréquence que vous souhaitez définir ? Quel impact aura cette disposition sur le nombre d'heures médicales disponibles, sachant que l'accès aux soins est un problème majeur ? Comment évaluez-vous les conséquences organisationnelles et financières de l'exigence de recertification ?