La plus grande des injustices est de ne pas avoir accès aux soins. Même la présidente du conseil de l'ordre de mon département est favorable à des mesures de régulation. J'ai été combattu par les députés Les Républicains, par les socialistes, même par certains qui étaient au Front de gauche ou ailleurs, mais maintenant nous nous unissons tous parce que le combat est vital. Vous serez obligée d'évoluer sur ce sujet.
Vous avez cité Nietzsche, je conclurai en citant Sénèque : « Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que nous n'osons pas, c'est parce que nous n'osons pas qu'elles sont difficiles. » Courage !