Vous dites mettre le patient au centre vos préoccupations ; vous savez très bien que ce que vous préconisez aboutirait à un déconventionnement et que les gens ne seraient pas remboursés.
Quant aux maternités – notre collègue qui a évoqué ce sujet a quitté l'hémicycle – , il ne suffit pas de monter sans arrêt au créneau pour dire : « on a fermé notre maternité » ! Il faut regarder la situation de la périnatalité aujourd'hui en France : elle n'est pas bonne. Et ce n'est pas d'installer une maternité dans chaque commune qui réglera le problème.