Monsieur Lecoq, vous regrettez qu'une trop grande place soit laissée à l'attractivité des stages. Certes, mais nous sommes face à des médecins en formation. On ne peut pas les envoyer dans des endroits où ils ne sont pas formés. Nous parlons d'internes qui doivent apprendre leur métier. On attend d'eux qu'à la fin de leur internat, qui dure quatre ans, ils connaissent leur métier. S'il s'agit de rendre moins attractifs des stages dans des hôpitaux dans lesquels ils sont bien formés pour ouvrir des stages dans des endroits où ils sont mal formés, à l'arrivée, les internes ne connaîtront pas leur métier. Attention à ne pas promouvoir, pour répondre à un besoin immédiat, des solutions qui mettront à mal la formation de nos futurs professionnels.