Quels moyens budgétaires et médicaux nous donne-t-on et quel soutien propose-t-on aux acteurs locaux pour y faire face ? Ça, c'est un débat qui m'intéresse !
Si nous ne l'abordons pas, nous débattons d'une loi et d'amendements de bonne conscience – je le dis avec beaucoup de respect, pardonnez-moi si je m'enflamme un peu. Je pense que vous êtes animés de bonnes intentions ; mais si on peut réécrire la bible, je ne suis pas sûr que cela suffise pour qu'elle devienne réalité.
Pour cela, il faut se donner les moyens d'une politique publique de santé ; or c'est ce qui manque cruellement à ce projet de loi.