Puisque le sujet tient à coeur à nombre d'entre vous, je veux vous répondre sur le fond après l'avoir fait tout à l'heure sur la forme.
Certains exposant leur expérience personnelle, je vais me permettre de faire état de la mienne. Lorsque j'étais à l'Institut national du cancer, j'ai favorisé et financé dans des proportions considérables l'activité physique adaptée pour les patients atteints de cancer en prévention tertiaire ; lorsque j'étais présidente de la Haute Autorité de santé, j'ai fait réaliser des travaux portant spécifiquement sur les indications et l'intérêt de l'activité physique adaptée dans le cadre des pathologies chroniques prises en charge en ALD ainsi que sur les modalités de prescription dans ce contexte.