Cette réforme hospitalière intéressera beaucoup plus la province que Paris, puisqu'il s'agit surtout d'un maillage territorial « provincial », cette expression ne revêtant aucune connotation péjorative. En effet, certains territoires comptent des établissements privés, des cliniques, que nous ne devons pas négliger. Nous devons au contraire les intégrer dans la reconstruction de la carte hospitalière car, mon collègue l'a rappelé, le public et le privé doivent marcher ensemble.