Mme la ministre vient de le dire, le problème ne se pose pas tout à fait au niveau des grossistes répartiteurs, mais plutôt au niveau des laboratoires qui fournissent ces grossistes répartiteurs, lesquels fournissent ensuite les pharmaciens. Mme la ministre a pris ce sujet à bras-le-corps car elle sait que la problématique des ruptures de stock est un vrai sujet. Aujourd'hui, on compte plus de 500 médicaments en rupture, et ce sont des médicaments que l'on ne peut pas substituer par d'autres : il s'agit donc d'un vrai problème de santé publique auquel nous devons très vite trouver des solutions.