Vous avez dit que les chercheurs devaient se lancer dans la deep tech, ce qui nécessite un environnement composé de nombreux acteurs. Veillez-vous à l'agrégation de ces acteurs autour des start-up et, en particulier s'agissant des collectivités ? Dans la deep tech telle que vous l'envisagez, avez-vous inclus un critère de développement territorial ? S'il est un domaine où la technologie de rupture me semble nécessaire, c'est celui de la santé. Pour le traitement des cancers pédiatriques, en particulier, la ministre nous a dit que la recherche fondamentale devait être renforcée pour passer un cap. Financez-vous les start-up qui s'y consacrent ?