Le principe est simple et de bon sens sur le plan économique : le prix doit couvrir les coûts de production de l'électricité par EDF, et rien d'autre, qui sont aujourd'hui principalement les coûts du nucléaire. Nous avions pris l'engagement de ne pas augmenter, comme c'était prévu, l'électricité pendant la période hivernale, pour éviter aux Français qui se chauffent à l'électricité de subir cette hausse : cet engagement a été tenu.
Par ailleurs, le chèque-énergie, qui a succédé aux tarifs sociaux de l'électricité et du gaz, a été augmenté par une décision du Parlement, de près de 50 euros en moyenne et plus de 2 millions de personnes supplémentaires vont en bénéficier. C'est notre politique d'accompagnement social et de transformation énergétique qui permettra aux Français d'avoir une facture qui ne s'alourdit pas.