relatif, donc, aux seafarers, un texte important qui constitue à la fois un projet commun et l'occasion d'apporter quelques simplifications concernant le métier de marin-pêcheur.
C'est un métier dur que l'on pratique jeune. En effet, il permet de bien gagner sa vie – ce n'est pas Mme Tanguy ici présente, dont la circonscription inclut le Guilvinec, qui dira le contraire – , et donc de s'installer rapidement, de se marier, de se faire construire une maison. Mais au-delà de quarante, quarante-cinq ans, il est plus difficile de partir en mer en laissant derrière soi sa femme et ses enfants. C'est pourquoi il faut prévoir des évolutions de carrière.
Peut-être que la STCW-F va permettre de telles évolutions, mais aussi de simplifier les choses. Vous savez que les marins-pêcheurs sont obligés, pour partir, de porter des brassières qui pèsent deux kilos.