Bruno Fuchs et moi-même, nous avons cosigné ce courrier qui demande un moratoire d'un an. En fait, ce moratoire ne suffira pas. Le courage de la présidente et la volonté de certains députés de la majorité me rassurent.
Le Nigéria avait accepté que le français soit la deuxième langue officielle jusqu'en 2004. En l'absence de réponse et de réaction, cette disposition a été supprimée. Nous avons l'opportunité de nous implanter dans ce pays, le plus grand d'Afrique, où nous n'avons pas de passé colonial. J'espère que nous le ferons, mais peut-être suis-je un peu utopiste.