Le Mozambique vit actuellement un drame avec le passage du cyclone Idai. En tant que président du groupe d'amitié avec ce pays, je suis intervenu auprès de l'ambassade pour faire le point. Une demande d'aide internationale a été émise et du matériel est parti de La Réunion. Je me félicite de voir que la France mène une démarche de solidarité active auprès de pays non-francophones, comme le Mozambique, qui est plutôt lusophone. Étant présents sur toutes les mers et tous les continents, il est important pour nous de porter ce message. L'ambassadeur du Mozambique a expliqué au groupe d'amitié que son pays est en attente d'investissements et espère que la France répondra à l'appel. Ce pays nous aime ; il y a ainsi des pays portent l'image de la France dans leur coeur. Cela justifie le développement de liaisons aériennes.
Les accords internationaux ne sont pas amendables, c'est dommage. Mais il faudra bien que nous puissions trouver le moyen de porter des exigences sur la qualification des avions, la pollution, la sécurité…