En tant qu'élu de la région Nouvelle Aquitaine au sein de laquelle est produit le cognac, je me félicite que l'accord prévoie l'abandon de l'appellation « cognac », ainsi que de l'appellation « champagne », par l'Arménie. C'est significatif car l'Arménie compte 40 000 viticulteurs et ces produits représentent à eux seuls 10 % des exportations du pays. Cet accord va donc satisfaire les viticulteurs charentais.