Le raisonnement d'Amélie de Montchalin est très juste. Il s'agit non pas de pénaliser les uns ou les autres mais d'introduire un principe de neutralité. Il n'appartient pas à la puissance publique d'arbitrer à la place du chef d'entreprise entre le recours aux heures supplémentaires et l'embauche. La bonne vieille neutralité libérale, voilà la vérité !