Je précise, chers collègues, que nous venons de consacrer deux heures et demie à ce texte, qu'il nous reste quelques amendements à examiner puis une proposition de loi de M. Pierre Cordier que j'aurais souhaité examiner ce matin et, enfin, deux textes sur la Polynésie dont chacun connaît l'importance. Je ne crois pas que nous ayons bâclé les débats relatifs à cette proposition de loi, et je vous invite désormais à accélérer un peu.