Mais il existe toujours, puisque ces yachts sont simplement partis ailleurs ! Non seulement cela affecte les finances de l'État, mais cela grève surtout notre capacité de redistribution et d'investissement dans le développement de l'économie. Ce ne sont donc en réalité pas les plus riches qui sont pénalisés, mais les emplois les plus fragiles, au nom d'une logique certes vertueuse mais contre-productive dans l'économie mondialisée qui est la nôtre.