Malgré cela, le tribunal de commerce a jugé que le projet n'était pas assez solide. D'autres exemples nous l'ont toutefois appris, il n'est pas forcément judicieux de faire croire aux salariés à des solutions qui, in fine, ne s'avèrent pas viables.
Il faut donc respecter cette décision de justice et continuer à accompagner les salariés. C'est ce que feront Bruno Le Maire et Agnès Pannier-Runacher, à travers un contrat de sécurisation professionnelle incluant jusqu'à 95 % du salaire net et à l'activation d'une cellule spéciale. Je puis donc vous garantir, madame la députée, que l'État continuera à s'engager.