Je ne parle pas de la sorte pour accuser quiconque : vous avez été, pour certains d'entre vous, des soutiens de Nicolas Sarkozy, comme j'ai été moi-même dans la majorité pendant cinq ans sous le précédent gouvernement.
Je crois qu'il serait bon, dans l'intérêt du débat public avec nos compatriotes, que chacun assume sa part de responsabilité dans la situation actuelle.