Monsieur François-Michel Lambert, vous avez également souligné l'aspiration croissante à plus d'écologie. Vous avez notamment plaidé pour une plus grande décentralisation en la matière : je ne peux qu'y être favorable.
Plusieurs députés, tel M. Pancher, qui a cité des exemples concrets – l'eau, les transports urbains, les déchets, dans lesquels une telle évolution est déjà en cours et avec succès – , l'ont également affirmé.
En revanche, vous avez raison de rappeler que cela n'est possible qu'en définissant des objectifs nationaux auxquels il faut se tenir. Car, s'il s'agit de mener un combat frontal contre la politique énergétique, comme sur certains territoires et comme un président de région, qui se reconnaîtra aisément et qui refuse le développement des énergies renouvelables dans sa région, alors nous ne pourrons pas avancer.