Par conséquent, soit vous assumez comme nous que cette énergie soit pour partie subventionnée afin que les agriculteurs puissent disposer d'un revenu complémentaire, et que le développement local soit une réalité partout sur notre territoire, car l'État a besoin de recettes pour verser ces subventions, soit vous ne l'assumez pas, auquel cas il faut répercuter cette différence sur le prix du gaz. Ou alors il faut renoncer à développer cette source d'énergie.
Il faut être concret, monsieur le député, et faire des choix clairs, sinon cela ne mène à rien, en matière d'écologie comme dans d'autres domaines.