De la même manière, puisqu'il dit que l'on ne pourra pas discuter en profondeur du cap de sa politique, à quoi bon un grand débat ?
Cette question qui s'est posée à l'extérieur de l'hémicycle se pose aujourd'hui à l'intérieur : à quoi bon un grand débat, si à la fin il n'y a pas de vote ? En république, après quatre mois d'une impasse telle que nous la connaissons, c'est par un vote qu'il faudrait trancher le conflit entre la représentation nationale et le peuple ! Mais vous vous y refusez.