On a laissé filer les prélèvements obligatoires et ils tutoient désormais les 50 % du PIB, alors qu'au lendemain de la guerre on croyait qu'ils ne dépasseraient jamais 20 à 25 %. C'est pourquoi, avec humilité, notre obsession reste de baisser les prélèvements obligatoires.
Entre la haine des riches et la stigmatisation des plus vulnérables, …