Cette lutte doit être permanente et la recherche d'efficacité, toujours plus importante.
Il est également de notre devoir d'adapter notre fiscalité à l'économie du numérique. La distorsion de concurrence asphyxie nos entreprises traditionnelles, et notamment les commerces de proximité. La première étape concerne la taxe sur les services du numérique dont nous avons commencé à parler cette semaine.
Mes chers collègues, les Français nous demandent de faire en sorte de les réconcilier avec l'impôt et la dépense publique. La route est longue, et elle doit commencer par la poursuite de la baisse des impôts sur les revenus du travail et par la suppression des dépenses publiques inutiles.