Le seul problème, disons-le, tient aux niches fiscales. Ce système a parfois un grand intérêt : comme Bruno Le Maire et Agnès Buzyn ont eu plusieurs fois l'occasion de le répéter, la défiscalisation accompagne un certain nombre d'actions et permet, par exemple, que les personnes travaillant dans le secteur de l'aide à domicile trouvent davantage d'emploi et évite qu'elles travaillent de façon dissimulée, si j'ose dire. Cette défiscalisation-là ne doit évidemment pas être remise en cause.
Toutefois, le Parlement a fait preuve d'une certaine unanimité, du moins si j'en crois les orateurs qui se sont exprimés aujourd'hui, pour affirmer qu'il faut revoir ces niches fiscales en procédant à leur évaluation. Le Gouvernement se tient évidemment à la disposition du Parlement pour lui fournir les informations nécessaires…