La question des modalités d'adoption peut être posée et je le dis ici comme je l'ai dit ailleurs : je n'ai pas peur de l'avis du peuple. Cette crise de confiance nous renvoie à l'envie de participer.
À cet égard, il apparaît clairement qu'on ne peut pas tout attendre des représentants de la nation. D'abord parce que nous sommes nombreux sur tous ces bancs à nous démener pour faire participer ceux qui nous ont fait confiance et les autres, mais aussi parce que les élus locaux doivent prendre leur part dans la rénovation de la démocratie délibérative que nous soutenons tous.