Dans l'affaire dramatique de la disparition de la petite Maëlys, survenue fin août, la gendarmerie a mobilisé des moyens impressionnants – équipes cynophiles, cellule de lecture automatique des plaques d'immatriculation, spéléologues, brigade nautique, drones de la gendarmerie des transports aériens permettant de dresser une carte en 3D du secteur –, qui n'ont malheureusement pas permis de retrouver l'enfant. A posteriori, estimez-vous que certains outils vous ont fait défaut, et quel regard portez-vous sur la manière dont les recherches ont été menées ?
Ma deuxième question a trait à la gendarmerie de l'armement, qui joue un rôle essentiel sur treize sites sensibles, notamment ceux de la direction générale de l'armement (DGA). Comment appréhendez-vous les menaces représentées par des drones civils transformés en armes ?