C'est Nicolas Sarkozy, qui lance la révision générale des politiques publiques, qui s'est résumée au rabot géant du non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux partant à la retraite. C'est François Hollande, enfin, qui, avec la modernisation de l'action publique, est resté au niveau des diagnostics sans entrer dans le concret.
Pourtant, la demande de changement de l'État est assourdissante en France. Les Français ne veulent pas moins d'État, mais un État plus efficace, plus proche et capable de s'adapter aux nouvelles demandes.