Celui-ci a procédé à l'augmentation de crédits budgétaires destinés à l'école de la République la plus importante – je suis bien placé pour le dire – de tous les gouvernements de la Ve République.
Qu'a fait le ministre Blanquer ? D'abord, il a battu en brèche – puisque nous débattons ce soir de l'organisation de l'État et des services publics – cette idée absurde selon laquelle l'État peut imposer les rythmes scolaires aux maires de France, lesquels sont les premiers à savoir, au niveau local, comment il convient de s'organiser en la matière. Les rythmes scolaires de l'enfant ne sont pas les mêmes en Lozère et à Paris.