Nous sommes tous très sensibles à cette question et il nous faut en quelque sorte choisir entre le coeur et la raison. Sans surprise, j'irai dans le sens du rapporteur général, tout en gardant un oeil très attentif sur ce qu'il vient de nous indiquer quant à l'évaluation attendue par la mission d'information. Nous devons en effet disposer de données concrètes sur l'accessibilité au prêt et le nombre de personnes qui y accèdent pour imaginer, en fonction des conclusions de la mission, comment nous pourrons inclure cette mesure dans le prochain PLFSS.