Plusieurs collègues mettent en avant le bon sens qui anime la proposition de M. Lurton, et j'entends l'enthousiasme qu'elle suscite, notamment par le signal qu'elle donne au regard de notre politique familiale, mais le rapporteur général ne lui a pas opposé une fin de non-recevoir. Nous sommes aussi tenus par une responsabilité en matière d'équilibres financiers. Le rapporteur général nous propose non pas de reporter la mesure sine die mais d'attendre que la mission d'information, dont c'est la responsabilité, se pose certaines questions sur la politique familiale. Cet amendement suscite a priori l'intérêt des parlementaires : allons au bout de ce sujet dans le cadre de la mission. Il y a des mesures que nous pouvons construire ensemble, y compris sur des sujets d'importance comme la politique familiale.