Monsieur le rapporteur général, vous connaissez les « parcours territoriaux de santé », centrés sur les soins primaires : c'était une grande demande des médecins généralistes. Il faudrait aujourd'hui, en optimisant et en coordonnant les parcours de soins, y inclure les médecins de second recours, c'est-à-dire quelques spécialistes, surtout là où ils sont trop peu nombreux.
Les professionnels de santé sont prêts à s'engager dans cette voie.
J'ajoute que vous avez déposé un amendement qui utilise la notion de « soins ambulatoires » : elle me paraît meilleure que celle de « soins de ville ».