Vous avez parlé des investissements en précisant qu'ils sont colossaux – à près d'un milliard d'euros, ils représentent 30 % du chiffre d'affaires de la RATP. Mais vous avez surtout parlé de la région parisienne. Est-ce à dire que la présence en région ne relève pas de ces investissements ? Pour être plus précis, la perspective de l'ouverture à la concurrence, notamment pour les bus, freine-t-elle les investissements en région ?