C'est gigantesque. De plus, ce n'est même pas de l'impôt : les sommes sont disponibles. La véritable question est la suivante : 3 milliards, certes, mais pour faire quoi ? Je m'étonne de temps en temps – nous l'avons d'ailleurs écrit – car je ne pense pas qu'en finançant 150 actions avec ces 3 milliards on satisfasse beaucoup d'objectifs.