Je viens d'une terre où les réfugiés espagnols sont arrivés par milliers dans les années 1940, où les réfugiés italiens ont migré pour fuir la misère au XIXe siècle. Actuellement, ce sont les Syriens qui frappent aux portes de l'Europe, et croyez bien que l'histoire nous jugera sur nos actes.
L'une de mes plus grandes fiertés, lorsque j'étais maire d'Encausse-les-Thermes, fut d'accueillir des familles de réfugiés. Suis-je, moi aussi, complice des passeurs ?