Ensuite, je regrette qu'au cours de nos travaux en commission, et dans le texte et les amendements eux-mêmes, la langue française ait été aussi maltraitée. Je me permets de rappeler, chers collègues, l'un des grands enseignements du grand débat national qui vient de s'achever : notre propension à produire une foison d'acronymes et d'anglicismes nous éloigne chaque jour un peu plus de nos concitoyens.