Nous soutenons cet amendement qui, je pense, parvient à traduire les remarques que nous avons entendues. Peut-être celles-ci ont-elles été exprimées tardivement, madame la ministre, mais M. Brotherson a expliqué l'autocensure ici à l'oeuvre, et la nécessité du long et difficile travail de transmission de la mémoire et de l'histoire. C'est peut-être parce que nous sommes, en ce moment précis, au seuil d'un compromis historique que s'exprime la volonté de voir mise en lumière la réalité du préjudice subi.
L'amendement permettrait d'apporter une réponse à ceux qu'anime cette préoccupation tout à fait légitime. Nous le voterons donc.