Cet amendement porte sur l'exploitation des terres rares, qui est particulièrement destructrice pour les écosystèmes et la santé des travailleurs.
Dans un contexte de monopole chinois et d'augmentation de la demande mondiale, les projets d'extraction se multiplient dans le monde. Souvent, ce sont des consortiums étrangers voraces qui viennent tirer le profit maximum des ressources des pays riches en terres rares. Les effets désastreux de cette industrie sont prouvés en Nouvelle-Calédonie et à Madagascar. À l'heure de l'urgence écologique, un autre modèle, fondé sur la non-exploitation des ressources et des êtres humains, doit être possible pour la Polynésie française.